黄色い部屋の秘密 第一章 ここから話がわからなくなる

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読み進めるうちに、文章のリズムや切れ目を意識していただければ幸いです。

・固有名詞は実際の発音を標準にしますが、日本語で馴染みのあるカタカナ表記を優先しています。
・固有名詞は、原則として最初に登場した時に限って、その固有部分を「第2カギ符」で囲んでいます。
・固有名詞の複合語は、「マス空け」「中点」ではなく、一つの意味のまとまりとして一体性を保つために「第2つなぎ符」で表記しています。

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Le mystère de la chambre jaune
Chapter Ⅰ
Où l’on commence à ne pas comprendre

||||||||黄色い|部屋の|秘密 
||||||
第一章
||||ここから|話が|わからなくなる

Ce n’est pas sans une certaine émotion que je commence à raconter ici les aventures extraordinaires de Joseph Rouletabille.
Celui-ci, jusqu’à ce jour, s’y était si formellement opposé que j’avais fini par désespérer de ne publier jamais l’histoire policière la plus curieuse de ces quinze dernières années.

ここに、<ジョゼフ=ルルタビーユ>の|驚くべき|冒険を|語り始めるに|ついて、|ある種の|感動を|覚えずには|いられない。
ジョゼフ=ルルタビーユ|本人は、|今日に|至るまで、|断固として|反対|していたため、|私は|この|十五年間で|最も|奇妙な|警察|事件の|記録を、|永遠に|公表|できないのでは|ないかと|諦めていた|ところであった。

J’imagine même que le public n’aurait jamais connu toute la vérité sur la prodigieuse affaire dite de la «Chambre Jaune», génératrice de tant de mystérieux et cruels et sensationnels drames, et à laquelle mon ami fut si intimement mêlé, si, à propos de la nomination récente de l’illustre Stangerson au grade de grand-croix de la Légion d’honneur, un journal du soir, dans un article misérable d’ignorance ou d’audacieuse perfidie, n’avait ressuscité une terrible aventure que Joseph Rouletabille eût voulu savoir, me disait-il, oubliée pour toujours.
La «Chambre Jaune»! Qui donc se souvenait de cette affaire qui fit couler tant d’encre, il y a une quinzaine d’années? On oublie si vite à Paris.

もし、|物理|学者として|名高い|<スタンジェルソン>が、|近ごろ|<レジオンー=ドヌール>勲章の|<大十字章>に|叙せられた|その|最近の|叙勲を|きっかけに、|ある|夕刊紙が、|無知に|満ちた、|あるいは|大胆不敵な|悪意に|よる|卑劣な|記事の|中で、|ジョゼフ=ルルタビーユ|自身が|永遠に|忘れ去られて|いてほしかったと|言っていた|恐るべき|一|事件を、|再び|呼び起こして|いなかったなら、|おそらく|世間は、|数多くの|神秘的で、|残酷で、|しかも|衝撃的な|惨劇を|生み出し、|しかも|私の|友人が|きわめて|深く|関わっていた|いわゆる|<黄色い部屋>|という|驚くべき|事件の|全真相を、|決して|知ることが|なかっただろうと|さえ|思う。
「黄色い部屋」!|いったい|誰が、|およそ|十五年ほど|前に、|これほど|多くの|インクを|費やさせた|あの|事件を|覚えて|いただろうか。|パリでは、|人は|あまりにも|すぐに|忘れて|しまう。

N’a-t-on pas oublié le nom même du procès de Nayves et la tragique histoire de la mort du petit Menaldo?
Et cependant l’attention publique était à cette époque si tendue vers les débats, qu’une crise ministérielle, qui éclata sur ces entrefaites, passa complètement inaperçue.
Or, le procès de la «Chambre Jaune», qui précéda l’affaire de Nayves de quelques années, eut plus de retentissement encore.
Le monde entier fut penché pendant des mois sur ce problème obscur,—le plus obscur à ma connaissance qui ait jamais été proposé à la perspicacité de notre police, qui ait jamais été posé à la conscience de nos juges.
La solution de ce problème affolant, chacun la chercha.
Ce fut comme un dramatique rébus sur lequel s’acharnèrent la vieille Europe et la jeune Amérique.

人は|<ネイヴ>|裁判の|名前|そのものや、|幼い|<メナルド>の|死をめぐる|あの|悲劇的な|物語さえ、|すでに|忘れて|しまっているのでは|ないだろうか。
しかし|一方で、|当時の|世論の|関心は、|その裁判の|ほうへ|あまりにも|関心が|集まっていた|ことから、|そのさなかに|勃発した|内閣の|危機は|完全に|見過ごされて|しまったのだ。
ところで、|数年後の|<ネイヴ>事件に|先立って|起きていた、|『黄色い|部屋』の|裁判は、|それ以上の|反響が|あったのだ。
全世界が、|この|不可解な|問題に、|何か月もの|あいだ|集中して|取り組んでいた。
それは、|私の|知るかぎり、|わが国の|警察の|洞察力に|これまで|投げかけられた|いかなる|問題よりも|不可解であり、|また、|わが国の|裁判官たちの|良心に、|これまで|突きつけられた|いかなる|問題よりも|不可解な|ものだった。
人の|正気を|失わさせる|ような|この謎の|解決を、|誰もが|探し求めた。
それは、|歴史ある|ヨーロッパと|新しい|アメリカの|知性が、|必死に|取り組んだ、|ひとつの|謎とき|劇場の|ような|ものだった。

C’est qu’en vérité—il m’est permis de le dire «puisqu’il ne saurait y avoir en tout ceci aucun amour-propre d’auteur» et que je ne fais que transcrire des faits sur lesquels une documentation exceptionnelle me permet d’apporter une lumière nouvelle—c’est qu’en vérité, je ne sache pas que, dans le domaine de la réalité ou de l’imagination, même chez l’auteur du double assassinat, rue morgue, même dans les inventions des sous-Edgar Poe et des truculents Conan Doyle, on puisse retenir quelque chose de comparable, QUANT AU MYSTÈRE, «au naturel mystère de la Chambre Jaune».

要するに|実際、|ここで|私が|そう|言うことを|許されるなら、|『この一件に|作者|としての|自尊心が|入り込む|余地が|あるはずは|ない』|のであるから、|私は|ただ、|特別に|充実した|資料に|もとづいて、|これまでにない|新たな|光を|当てうる|事実を|書き写しているに|すぎないのである。
実のところ、|現実の|領域に|おいても、|想像の領域においても、|たとえ|『モルグ|街の|二重|殺人』の|作者や、|<エドガー=ポー>もどきの|発想や、|血気盛んな|<コナン=ドイル>もどきの|創作において|さえ、|この『黄色い|部屋|そのものの|不可解さ』に、|『ミステリー|という|観点』で|比肩|しうるものが|あるとは、|私には|思えない。

Ce que personne ne put découvrir, le jeune Joseph Rouletabille, âgé de dix-huit ans, alors petit reporter dans un grand journal, le trouva!
Mais, lorsqu’en cour d’assises il apporta la clef de toute l’affaire, il ne dit pas toute la vérité. Il n’en laissa apparaître que ce qu’il fallait pour expliquer l’inexplicable et pour faire acquitter un innocent.
Les raisons qu’il avait de se taire ont disparu aujourd’hui.
Bien mieux, mon ami doit parler.
Vous allez donc tout savoir; et, sans plus ample préambule, je vais poser devant vos yeux le problème de la «Chambre Jaune», tel qu’il le fut aux yeux du monde entier, au lendemain du drame du château du Glandier.

誰ひとりとして|見いだすことが|できなかった|その|答えを、|十八歳の|若き|<ジョゼフ=ルルタビーユ>、|当時は|大新聞社の|駆け出しの|記者に|すぎなかった|彼が|見つけ|出したのだ!
しかし、|陪審|裁判の|法廷で、|事件|全体の|鍵を|明らかに|したとき、|彼は|すべての|真実を|語ったわけでは|なかった。
説明に|必要な|鍵だけ、|すなわち、|不可解な|ところを|説明|するために、|そして、|無実の|人物を|無罪にする|ために|必要なこと|だけしか、|彼は|明らかに|しなかったのだ。
今となっては、|彼が|沈黙を|守っていた|理由は、|例の|夕刊紙|によって|すでに|消え去った。
それどころか|今や、|私の|友人は、|語らねば|ならないのだ。
それゆえ、|あなたがたは|すべてを|知ることが|できるのである。||そして、|これ以上の|前置きは|省いて、|私は、|<グランディエ>(架空の|城の|名前)の|惨劇の|翌日に、|全世界の|目に|映った|そのままの|姿で、|『黄色い|部屋』の|ミステリーを、|あなたがたの|目の|前に|差し出そう。

Le 25 octobre 1892, la note suivante paraissait en dernière heure du Temps:
«Un crime affreux vient d’être commis au Glandier, sur la lisière de la forêt de Sainte-Geneviève, au-dessus d’Épinay-sur-Orge, chez le professeur Stangerson.
Cette nuit, pendant que le maître travaillait dans son laboratoire, on a tenté d’assassiner Mlle Stangerson, qui reposait dans une chambre attenante à ce laboratoire.
Les médecins ne répondent pas de la vie de Mlle Stangerson.»

1892年|10月|25日、|つぎの|一文が、|新聞|<ル=タン>の|最終版に|掲載された。
『恐るべき|犯罪が、|たった|今、|<グランディエ>で|起こった。
<セント=ジュヌヴィエーヴ>の|森(パリ|近郊の|創作上の|森の|名前)に|接した、|<エピネ=シュル=オルジュ>(実在する|町の|名前)の|高台に|位置する|<スタンジェルソン>教授の|屋敷での|出来事|である。
昨夜、|教授が|研究室で|仕事を|している|あいだに、|研究室に|隣接する|部屋で|休んでいた、|<マドモアゼル=スタンジェルソン>の|殺害|未遂|事件が|起きた。
医師たちに|よれば、|マドモアゼル=スタンジェルソンの|生命|については|保証できない|状態|とのことである。

Vous imaginez l’émotion qui s’empara de Paris.
Déjà, à cette époque, le monde savant était extrêmement intéressé par les travaux du professeur Stangerson et de sa fille.
Ces travaux, les premiers qui furent tentés sur la radiographie, devaient conduire plus tard M. et Mme Curie à la découverte du radium.

パリを|一気に|襲った|動揺は|読者も|想像|できるであろう。
その当時、|既に|学界は|スタンジェルソンと|その|娘の|研究に、|きわめて|強い|関心を|寄せていた。
これらの|研究は|放射線|写真法|について|初めて|試みられた|ものの|一つであり、|やがて|<キュリー夫妻>の|ラジウム|発見へと|導くことに|なった。

On était, du reste, dans l’attente d’un mémoire sensationnel que le professeur Stangerson allait lire, à l’académie des sciences, sur sa nouvelle théorie: La Dissociation de la Matière.
Théorie destinée à ébranler sur sa base toute la science officielle qui repose depuis si longtemps sur le principe: rien ne se perd, rien ne se crée.

そのうえ、|人々は|科学アカデミーで|朗読する|予定になっていた、|スタンジェルソンの|新理論、|『物質の解離』に|関する|衝撃的な|論文を|心待ちに|していた。
それは、|長年にわたって|「何ものも|失われず、|何ものも|創造されない」という|原理の|上に|築かれ、|公認|されてきた|科学|全体を、|根底から|揺るがすことなる|理論|であった。

Le lendemain, les journaux du matin étaient pleins de ce drame. 
Le matin, entre autres, publiait l’article suivant, intitulé: «Un crime surnaturel»:

翌朝、|朝刊は|どれも、|この惨劇の|記事で|埋め尽くされていた。
なかでも、|『ル=マタン』(1884年に|創刊され|ガストン=ルルー|自身が|所属|していた|パリの|大衆紙。)は、|次の|記事を|掲載した。
その|見出しは、|『摩訶不思議な|犯罪』であった。

«Voici les seuls détails—écrit le rédacteur anonyme du matin—que nous ayons pu obtenir sur le crime du château du Glandier.
L’état de désespoir dans lequel se trouve le professeur Stangerson, l’impossibilité où l’on est de recueillir un renseignement quelconque de la bouche de la victime ont rendu nos investigations et celles de la justice tellement difficiles qu’on ne saurait, à cette heure, se faire la moindre idée de ce qui s’est passé dans la «Chambre Jaune», où l’on a trouvé Mlle Stangerson, en toilette de nuit, râlant sur le plancher.
Nous avons pu, du moins, interviewer le père Jacques—comme on l’appelle dans le pays—un vieux serviteur de la famille Stangerson.
Le père Jacques est entré dans la «Chambre Jaune» en même temps que le professeur.
Cette chambre est attenante au laboratoire. Laboratoire et «Chambre Jaune» se trouvent dans un pavillon, au fond du parc, à trois cents mètres environ du château.

以下は、|ル=マタンの|匿名の|記者が|書いている|とおり、|グランディエで|起きた|この犯罪|について、|われわれが|入手できた|唯一の|詳細|である。
「スタンジェルソンが|悲嘆にくれた|状態|であることと、|被害者の|口から|いかなる|情報も|聞き出せない|という|事情が、|われわれの|情報|収集と|司法当局の|捜査を|きわめて|困難に|している。
寝巻姿の|マドモアゼル=スタンジェルソンが、|『黄色い|部屋』の|床の上で|瀕死の|状態で|発見|されたのだが、|その部屋で|いったい|何が|起きたのか、|現時点で|わかっていることは|ほとんどない。
少なくとも、|われわれは、|現場付近で|<ジャック>爺さんと|呼ばれている、|スタンジェルソンに|長年|仕えてきた|老人に、|取材|することが|できた。
ジャックは、|スタンジェルソンと|同時に、|『黄色い部屋』に|入った|人物|である。」


«—Il était minuit et demi, nous a raconté ce brave homme (?), et je me trouvais dans le laboratoire où travaillait encore M. Stangerson quand l’affaire est arrivée.
J’avais rangé, nettoyé des instruments toute la soirée, et j’attendais le départ de M. Stangerson pour aller me coucher. Mlle Mathilde avait travaillé avec son père jusqu’à minuit; les douze coups de minuit sonnés au coucou du laboratoire, elle s’était levée, avait embrassé M. Stangerson, lui souhaitant une bonne nuit. Elle m’avait dit: «Bonsoir, père Jacques!» et avait poussé la porte de la «Chambre Jaune». Nous l’avions entendue qui fermait la porte à clef et poussait le verrou, si bien que je n’avais pu m’empêcher d’en rire et que j’avais dit à monsieur:

『時刻は|午前|零時半でした』と、|この|善良そうな|老人(?)は語ってくれました。
『そのとき|私は、|まだ|仕事を|続けておられた|旦那様(スタンジェルソン)の|研究室に、|たまたま|居合わせて|いたのです。||そこに|あの|出来事が|起こったのです。
マチルド嬢は、真夜中まで父親と一緒に仕事をしていた。
マチルド嬢は、深夜の十二時までお父さまと一緒にお仕事をなさっておりました。
研究室の鳩時計が十二時を打つと、彼女は席をお立ちになり、スタンジェルソン氏に口づけして、おやすみなさいとお声をかけられました。
そのうえで、私にこうおっしゃったのです。

«Voilà mademoiselle qui s’enferme à double tour. Bien sûr qu’elle a peur de la «Bête du Bon Dieu»!» Monsieur ne m’avait même pas entendu tant il était absorbé. Mais un miaulement abominable me répondit au dehors et je reconnus justement le cri de la «Bête du Bon Dieu»!… que ça vous en donnait le frisson… «Est-ce qu’elle va encore nous empêcher de dormir, cette nuit?» pensai-je, car il faut que je vous dise, monsieur, que, jusqu’à fin octobre, j’habite dans le grenier du pavillon, au-dessus de la «Chambre Jaune», à seule fin que mademoiselle ne reste pas seule toute la nuit au fond du parc. C’est une idée de mademoiselle de passer la bonne saison dans le pavillon; elle le trouve sans doute plus gai que le château et, depuis quatre ans qu’il est construit, elle ne manque jamais de s’y installer dès le printemps. Quand revient l’hiver, mademoiselle retourne au château, car dans la «Chambre Jaune», il n’y a point de cheminée.